Oui et non, j’essaye de refaire le design du blog, donc je le déménage ailleurs sans supprimer celui là. Ainsi, celui-ci marque une époque, un point dans le temps. L’autre sera plus complet je crois dans la manière et le contenu, car je n’ai jamais pris ça au sérieux. Toute façon, ce n’est pas sérieux tout court vu qu’il n’y a rien à gagner, simplement écrire une trace non? 🙂

Donc je vous invite à vivement critiquer à la fois le contenu et la présentation de http://rudovikku.wordpress.com/

Par ailleurs, il se peut que j’écrive encore un peu ici même si ce sera plus rare qu’à certains moments (toute façon j’ai pas le temps d’écrire vraiment…).

Merci donc de me suivre ou pas, et rappelez vous que ces articles ne sont que le reflet des évènements sur ma propre existence, donc quoi qu’il en soit cela n’a vraiment aucune importance :).

Guilty Crown

Deuxième choix de la saison (en fait premier), Guilty Crown est l’anime que j’attends le plus en cette fin d’année. Pour le plus grand plaisir des spectateurs, il aura 22 épisodes.

L’histoire :

The story takes place in Tokyo in 2039. After the outbreak of the unidentified virus « Lost Christmas » in 2029, Japan has been under the control of a multinational organization called GHQ. Ouma Shu is a 17-year-old boy who has a psychic power in his right hand. He can use the power « Ability of King » to extract tools or weapons from his friends. He has been avoiding making trouble for others but his life changes when he meets a girl named Yuzuriha Inori, a member of a resistance guerrilla group called « Undertaker », whose members pilot mecha weapons to fight against the government.

Avis: –

Note: –

Classification: R 17+ 22 episodes

(image du manga)

Le premier choix de la saison sera celui là. Autant dire que j’ai un peu choisit au hasard, et que ce premier épisode m’a fait rire… mais que je suis convaincu que ce ne sera pas un anime mythique, cela se voit au premier regard.

Cependant, j’ai décidé de le  prendre un peu comme on prendrait « Love Hina », c’est à dire pour un anime qui va me faire digérer des potentiels anime décevants.

Bref passons à l’histoire :

Yachi Haruaki est un jeune lycéen qui reçoit un mystérieux cube noir particulièrement lourd, de son père qui vit à l’étranger. Cette nuit-là, Haruaki se réveille pour un bruit suspect dans la cuisine, et il découvre avec stupeur une fille entièrement nue en train de manger. C’est alors que commencent les péripéties pour Haruaki, qui n’est pas au bout de ses surprises.

Avis: –

Note: –

Classification: ? ? episodes

Dantalian no Shoka (ダンタリアンの書架)

Voici donc celui qui se veut dans la lignée de Gosick, enfin un anime d’enquêtes, de fantastique etc…

Hugh Anthony Disward inherits an old mansion and a personal library from his grandfather. In the basement of the mansion, he meets a mysterious girl, Dalian. She is a Dantalian and a gateway to « Dantalian’s bookshelf », which stores the prohibited books of the demons.

« Gensho (Illusory Books) », the prohibited books, endanger the balance of the world, but people are fascinated by the taboo. Hugh and Dalian solve the cases involving Gensho with their ability to access the Dantalian bookshelf.

La bibliothèque mystique de Dantalian… quel titre évocateur! D’entrée, on prends de plein face un opening magique, poétique, émouvant.
Cela continue par le contexte de l’histoire, un chateau où seule demeure Dalian, la gardienne de la bibliothèque, ponctuant chaque ouverture par le gardien de la clef par quelques jolies phrases froides, troublantes.
Les livres fantômes, leur recherche, leur utilisation par notre duo d’aventuriers, voilà ce qui nous attends. Et on a le droit à tout, de l’humour, de l’action, de l’émotion…

Je reste court, vague sur cette anime. La raison est simple, je veux et je dois le revoir, et je suis certain que trop en dévoiler nuirait à la découverte.
Il est très bon, ce n’est pas ça le truc, mais j’ai l’impression d’avoir loupé trop de choses tellement il est riche de sens et de contenu. Il est clair que cette adaptation du manga éponyme est trop courte, mais ça m’a donné envie de lire le manga, voilà tout. J’ai cru que j’avais affaire à Gosick-bis, j’avais tort. Gosick a gardé les pieds sur Terre là où Dantalian no shoka s’est complètement barré ailleurs. C’est plutôt intéressant, et Gainax doit être félicité. Merci, j’ai aimé  même si parfois, Dalian en fait trop dans son rôle de « Mlle je sais tout et je suis désagréable ».

Cet anime est très réussi donc, musicalement, dans son graphisme, et à la rigueur on ne pourra lui reprocher que cette fâcheuse tendance à être completement décousu. On passe d’un épisode à un autre sans vraiment de lien, c’est un recueil de nouvelles mélangées, donc la narration est ainsi.
Je crois que la lecture du manga s’impose pour saisir tout ce qu’on ne peut comprendre, et finalement quel est le but de Huey, de Dalian. Pas le but qu’ils prétendent, mais on sent quelque chose de plus profond que leur aventure.
Bref j’ai adoré, et j’espère quelque chose derrière, mais bien plus que pour les deux autres animes que j’ai vu cet été. Pour peu que l’on accepte ce mode de narration troublant, on a là une œuvre de grande qualité, réalisée avec soin et même si elle ressemble à Gosick…  remarquez que Gosick est beaucoup cité, mais c’est un trailer à la fin d’une diffusion de ce dernier qui m’a fait découvrir l’anime dont il est question aujourd’hui. Alors certes, j’étais le public destiné, mais il n’y avait pas de mecha, ni de science fiction à la darker than black, juste un calme relatif et un personnage attachant, donc je me suis fait avoir et j’en suis ravi!

L.

Note: 9/ 10

Classification: R – 13+  – 12 episodes

Blood-C (ブラッドシー)

Fan de l’anime Blood+ et du film animé « The last vampire », cet anime est celui que j’attendais le plus en 2011. La critique consistera en des impressions par épisode (j’essaye pour voir) et une conclusion si la série a une fin rapide. Avant propos, je tiens tout de même à affirmer que j’aime bien les productions de chez Clamp, Card Captor Sakura reste selon moi le meilleur Shoujo de tous les temps car Sakura est clairement un personnage très travaillé et très attachant. Après la réputation du studio à faire du truc pour ado, je vais essayer de l’occulter même si je ne suis pas le public et que TOUS les adaptations de Blood étaient pour adultes.

Ukishima Shrine is located in an old, picturesque lakeside town. Shrine maiden Kisaragi Saya lives there along with her father, Tadayoshi. By day, she lives the life of a normal high school student at Sanbara Academy. By night, she hunts the Old Ones. Possessing supernatural physical prowess, the Old Ones prey on humans, and only Saya has the ability to defeat them.

J’ai revu ma copie. Tel un lycéen japonais voulant impressionner son professeur, je me suis vu obliger de reconnaître la vérité. Blood-C n’est pas un anime moyen, mais bel et bien un bon anime.
Alors comment Clamp et I.G ont-t-ils pondu l’anime le plus trompeur de la saison?

Tout commence par quelques épisodes rythmés par les chansons de notre héroïne, Saya, sur le chemin de l’école. Cette demoiselle est connue pour ses retards fréquents, pour sauver un chat ou simplement parce qu’un chien l’a intrigué… admettons. Dans une atmosphère calme et paisible, entrecoupée de dejeuner dans la cour de l’école et de scènes dans la salle de cours d’une pauvreté scénaristique affligeante, les journées se terminent par des combats au sabre dont la teneur en hémoglobine est plutôt terrible, effrayante.
Passé ces quelques épisodes où on s’attends à voir passer le nyan cat dans le ciel, il se passe quelque chose. Saya commence à se poser des questions… et cela ira jusqu’à ce qu’elle comprenne tout sur ce qu’elle vit, ses amis, ses ennemis. Même la guimauve finit par passer avec du mal, et pourtant ce n’est qu’une friandise.
La comparaison avec Blood+ est inévitable, mais il ne s’agit pas de la même histoire. Cependant, sur bien des points, ces animes se ressemblent. Ne regardez pas cet anime comme si vous attendiez la copie de Blood+ cependant, non, mais préparez-vous à un choc dès que l’anime change de ton. On passe de la tranquilité au gore sans crier gare, et encore la plupart des scènes sont censurées (ce qui ne sera pas le cas de la version blu-ray). Et puis même si le départ est ennuyeux à souhait, on finit par apprécier cet univers, ce qu’il est et ce qu’il finit par représenter pour Saya.

Ajoutez à cela un opening fort agréable, rapide et précis comme quand la furie s’empare de notre protagoniste avec son katana, un ending sympathique, une ambiance bien rendue en général, et surtout une façon de jouer sur les couleurs et la lumière qui colle à l’action, et vous obtenez quelque chose de vraiment agréable. Un bémol cependant, et qui finalement n’en est pas un (puisque c’est ce que je réclame à chaque anime que j’ai aimé), il est clair que l’histoire appelle autre chose. Une deuxième saison, ou le film prévu en 2012, et l’attente risque d’être longue…

Alors ce n’est pas un anime excellent, il lui manque sa continuité, la porte reste ouverte pour Blood-C qui est dans l’ordre, la déception de l’été, puis le changement le plus radical de l’été, et enfin l’anime le plus réussi de l’été quand à sa façon de m’avoir captivé, usé et abusé à grand coup de rebondissements. C’est réussi messieurs de Clamp et I.G, vivement la suite.

L.

Note: 8/ 10

Classification: R – 17+ (violence & jurons)  – 12 episodes

Kamisama no memo-chô (神様のメモ帳)

Le netbook de Dieu? Voilà un titre interessant, et un anime que je n’avais pas prévu de voir. Finalement, devant le niveau d’un de ceux que j’ai choisit (et que je risque d’arrêter, j’ai décidé de prendre un joker. Quel joker!

Narumi Fujishima is a plain high school boy, who has been isolated in the class. His classmate, Ayaka Shinozaki, invites Narumi to the gardening club and introduces a hikikomori detective named Alice to him.

Alice hires Narumi as an assistant to solve mysterious cases involving an illegal drug « Angel Fix ». But the drug entraps Ayaka into danger.

Avis: C’est l’histoire de Dieu qui s’achète un netbook. Pour garder cet appareil, il choisit Alice et elle s’avère être le porte paroles des morts, gardienne de la vérité qui est difficile à accepter. (N.B : cette intro est tellement mal écrite qu’on croirait une traduction du japonais par Google).

Mais rien de tout ça, cette petite fille de 10-14 ans (difficile à dire en fait) est une détective Neet, se servant d’une troupe de fidèles pour résoudre quelques enquêtes plus ou moins passionnantes, drôles, réussies. Il faut croire que les animes sur ce sujet, les enquêtes, soient légion. Mais celui là est plus marquant car son perso principal est très attachant. Le profil type de la petite fille un peu turbulente, c’est fun et on s’y prends à la regarder avaler sa boisson et ses ramens végétariens en souriant (moe syndrome again)…

Mais ce n’est pas que ça, parfois très bon et parfois très long et insipide, cet anime enchaîne les très bons passages (les derniers épisodes sont complètement prenants), les passages moyens comme les considérations sur la mafia japonaise qui peuvent être un peu chiants, et les moments très drôles (le match de baseball). Bref tout est inégal, mais jamais mauvais : un opening assez moyen, un ending moyen, bref ça manque un peu de moyens justement. La musique n’est pas marquante, rien qui ne sorte de l’ordinaire malgré tout. En même temps, intéresser le spectateur avec la vie d’une bande de Neet’s dirigés par une enfant enquêtrice toujours en pyjama, aidée par un lycéen ayant « fraternisé » avec le leader d’un groupe de Yakuzas et amoureux de sa comparse du club de jardinage… dit comme ça c’est un peu étrange. Mais on a vu plus étrange dans la japanime…

Dommage, j’aurais aimé plus, du moins j’attendais plus à la vue du premier épisode, très soigné et insérant le spectateur dans le contexte à la perfection. Je suis convaincu qu’avec 26 épisodes on aurait eu du très bon, c’est comme si cet anime avait été compressé afin de rester dans la case qu’il devait occuper. Seuls le début et la fin sont une tuerie, le reste est sympa certes, bien amené, bien fait mais cruellement fade. Cela reste une surprise, je ne connaissais pas « J.C Staff » et j’espère autre chose de leur part. Une suite? Pourquoi pas… (même si, vu la fin, la boucle est bouclée).

Note: 7,5 / 10 (en espérant une suite… sinon c’est tout juste 7/10)

Classification: R – 17+ (violence & jurons)  – 12 episodes

L.

Dustz – Spiral

On trouve de ces trucs sur Youtube…

C’est bizarre parce que ce n’est pas la version que j’ai sous format mp3, donc je fais tourner pour ceux qui connaîtraient pas, et ceux qui s’en foutent aussi. Oui parce que vous aussi, vous aller l’écouter je le sais 🙂

L.

 

Quels animes pour cet automne?

Une petite fiche récapitulative de ce qui va sortir. J’hésite, y’en a deux trois rien que le titre me fait rire (« Boku wa tomodachi je ne sais quoi », ça sent le truc sur l’amitié entre lycéennes bien chiant ;)). Y’a bien Guilty Crown qui a l’air sympa… enfin je sais pas

Ptet que je vais juste me faire de vieux trucs en attente (genre Death Note, Code Geass que je n’ai pas vu entièrement).

Oui toi lecteur, tu vois, les durs choix de la vie d’un fan de japanime.

L.

Space Battleship Yamato

Au début, il y avait un cuirassé japonais évoluant dans le Pacifique portant le nom de Yamato. L’envoyer dans l’espace était une idée saugrenue. Le faire avec les moyens du papa d’Albator (Harlock pour les puristes) cela paraissait encore plus dingue. Mais bon, soyons fous, regardons ce film et mangeons des sushis aux oeufs de poisson (non là je déconne).

Histoire: 2199. La galaxie a sombré dans la plus impitoyable des guerres. Les radiations ont rendu la terre inhabitable, et il n’y aura bientôt plus de refuge possible pour l’espèce humaine. Un seul vaisseau peut retrouver la machine de décontamination qui sauverait la Terre d’une extinction inévitable.

Avis: Au départ, je voulais vous donner la recette d’un teriyaki de saumon réussi en lieu et place de mon avis sur ce film. N’ayant pas de saumon sur la main et ne sachant pas cuisiner, j’ai du me résoudre à regarder ce film.

Albatoooooooor, Albatorrrrrrrr, le corsair de l’espaaaaaaaace. Dans ce film, il n’y est pas. Dommage. L’idée de sauver la Terre avec un vaisseau dans l’espace se battant contre des vilains pas beaux, en plus pour une fois un film ne venant pas du Nouveau Continent aurait du apporter la lueur du pays du Soleil Levant. Tout d’abord, il faut être un expert pour connaître les acteurs de ce film, le cinéma nippon n’est pas très répandu. Alors je ne sais pas si c’est leur vrai jeu d’acteur ou s’ils sont comme ça en permanence. J’ai vu d’autres films plus convaincants venant de là bas. C’est un gros problème, on a une impression soit de voir un peu surjouer ou trop de retenue. Il est certain que la deuxième option est une constante culturelle, mais cela ne se justifie pas. Alors est-ce la situation qui force l’acteur à agir ainsi? Croyons le et passons cet aspect un peu étrange. En même temps, dans le cinéma japonais, je suis plutôt fan de la dérision où ils sont excellents, donc dans le sérieux je suis novice.

Visuellement, c’est méchant. J’ignorais que ma télé avait une telle palette de couleurs. Ce film est fait pour la HD, techniquement parfait. De mémoire, je n’ai pas souvenir d’un film de SF de combats spatiaux aussi beau. C’est du grand art, à la hauteur de certains films qui se passaient dans une galaxie très très lointaine. Certes, moins de diversité biologique à l’écran, et un soupçon de choses moins épiques. Et pourtant ce film est l’exemple de film adapté aux nouvelles technologies. Bravo.

La bande son est bonne, les ambiances sont bien retranscrites. Après comme mon ampli a refuser de me diffuser le son correctement, je ne dirais guère plus.

Le but n’était pas d’être élogieux, de par le fait que finalement ce n’est qu’un anime adapté au cinéma. Pour une fois, c’est réussi. Et puis il faut savoir interpreter ce que l’on a vu, et j’avoue ma faiblesse. Peut-être l’attente était trop haute. Pour une fois, j’ai pourtant eu l’impression de voir un anime avec des vraies personnes, c’est un compliment pour un anime, pas pour un film hélas. Évidemment, cela vaut le coup d’oeil, parce que cela reste un bel effort, une histoire triste et heureuse, un comte qui n’a rien de féerique.

N°6

Cela ne vient pas à la suite du n°5 de chez Channel. Non cela sort de chez Bones, mon studio préféré (devant Ghibli, même si ça déplaît), et sur le papier ça pourrait être prometteur. Je me mefie énormément après Heroman et Star Driver, pourtant y’a eu Gosick… mais disons que il va falloir que cet anime déchire l’écran sinon je vais me fâcher et je vais regarder Naruto! Non je déconne 🙂

Dans la ville NO.6 en 2013, le jeune Shion a bénéficié d’une évaluation à son deuxième anniversaire l’ayant jugé comme possédant une intelligence très élevée, ce qui l’a placé dans le luxueux quartier « Cronos ». Il rencontre un jour Nezumi, un garçon échappé d’un camp de réforme. En tentant de le protéger, Shion se retrouve puni, allégé de tous ses privilèges et déporté dans la zone « Lost Town ». Quatre années après cet incident, un accident mystérieux entraîne Shion vers lesecret de NO.6….

Avis: J’ai abandonné. Je n’ai pas pu aller jusqu’au bout. Cette ambiguïté, cette lenteur, ce scénario si bon mais complètement sous exploité dans l’histoire, ce n’est pas possible. Chaque épisode de N°6 m’a semblé être un mauvais rêve, où l’ending était l’issue la plus favorable. Si bien qu’à la fin de chaque épisode, on ne se souvient plus de ce qui s’est passé. En fait, il ne s’est rien passé. Shion a lavé les chiens ou je ne sais quoi, Nezumi s’est balladé dans la ville abandonnée, Safu aura oublié qu’être intelligente ben c’est tout ce qu’elle a. Non vraiment, le graphisme superbe, la bonne musique d’ambiance, le bel opening, rien de tout ça n’est suffisant pour un anime dont on a l’impression qu’il souhaite nous endormir. A chaque fois je continuais l’anime par curiosité. Le reveil de Blood-C, dans un autre genre, m’aura fait abandonner celui là alors que je pensais abandonner l’autre. Je regarderais une autre fois, plus tard, voir si j’ai eu tort, car il est fort possible que je me sois trompé, mais je ne suis pas le public de cet anime.

L.